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Dans les années 30, un enfant sortant de l’école primaire, outre qu’il connaissait bien La Chanson de Roland, avait en mémoire un certain nombre de « poésies françaises » du Moyen-Âge ou de la Renaissance.
Il n’était pas rare que l’on apprît, à l’école, tel ou tel poème de Ronsard ou de Charles d’Orléans. Ce dernier, particulièrement représentatif de son temps, est également très accessible au nôtre.
Les rondeaux « Le temps a laissié son manteau » et « Yver, vous n’êtes qu’un vilain », appris en classe, ont nourri les premiers essais d’une compositrice « en herbe » qui n’avait alors que douze ans.