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Cette pièce diaphane et volubile, extraite du Songe d'une nuit d'été op. 61, a été écrite en 1843, à la fin de la vie du compositeur. Sa transcription pour l'orgue paraissait être évidente par rapport à une mise en valeur des caractéristiques sonores de l'orgue romantique et de ses possibilités expressives. Yannick Merlin a choisi de présenter une version pour un instrument à 2 claviers, permettant d'interpréter ce « Scherzo » sur un grand nombre d'instruments.
