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Motum, pour violoncelle seul, est intimement lié à un quintette intitulé Pseudomorphosis II, dont il est un peu le "négatif". Les deux oeuvres partagent un cadre formel identique - quatre sections jouées sans interruption - ainsi qu'une même préoccupation pour les processus formels. L'idée est d'explorer différentes perceptions de la vitesse en fonction du tempo et du type de matériau utilisé. Un même accord sert de point de départ, puis se soumet à une série de répétitions dans lesquelles les transitions de vitesse sont faites de manière proportionnelle.