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Ce « poème pour piano » d'une durée de douze minutes environ possède un caractère double : il s'agit à la fois d'une étude sur les couleurs sonores demandant un grand sens des nuances pour rendre toutes les subtilités de ce paysage en gris, blanc et ocre, mais aussi et surtout d'une peinture sonore de la beauté froide de l'hiver transfigurée (dans les dernières mesures) par l'irruption du printemps : allégorie de la vie triomphant de la mort...